Dans un précédent article, on a éclairé la notion de gain en capital pour les propriétaires occupants. Cette fois, notre focus se porte sur le gain en capital lié à une résidence secondaire ou une propriété locative.🏘️
Le gain en capital expliqué par l’exemple de chalet vendu à profit
Prenons l’exemple concret d’un chalet acheté il y a cinq ans pour 100 000 $. Si aujourd’hui, vous décidez de vendre ce chalet pour 200 000 $, vous réaliserez un gain en capital de 100 000 $. Ce gain en capital représente la différence entre le prix d’achat et le prix de vente de votre résidence secondaire.
La déclaration fiscale du gain en capital
La déclaration de ce gain en capital lors de votre déclaration d’impôts est une étape clé. En effet, en cas de vente d’une résidence secondaire ou d’une propriété locative, la loi impose la déclaration de ce gain. Le gouvernement vous accorde alors une exemption de 50 %. Dans notre exemple, vous déclarez donc un gain en capital de 50 000 $.
Impôt et gain en capital : le calcul à connaître
Le gain en capital déclaré, dans notre cas 50 000 $, s’ajoute à vos revenus annuels sur votre déclaration d’impôts. Admettons un taux d’imposition de 50 %. Vous auriez alors un impôt à payer de 25 000 $ sur le gain en capital de votre résidence secondaire ou locative. Comprendre ce mécanisme est essentiel pour budgéter correctement vos dépenses.
Du propriétaire occupant au propriétaire bailleur : une situation à analyser
Une autre nuance importante survient lorsque vous passez de propriétaire occupant à propriétaire bailleur. Comment alors déterminer le gain en capital réalisé entre ces deux périodes, sachant qu’il y avait une portion où vous étiez exempté? Il existe une méthode pour le faire.
Pour en savoir plus sur le gain en capital et la résidence secondaire ou locative
Pour connaître tous les détails et comprendre comment cela fonctionne, vous pouvez tout simplement cliquer sur le lien ci-dessous. On pourra alors en discuter ensemble!